---------- toute l’intelligence est dans la trompette ---------- l'information déployée par Jean-claude Barthelay ---------j'ai été enfant de choeur, militant socialiste, pilier de bar, artisan du batiment, conseiller municipal, sportif ( course à pied, alpinisme ) et touriste à Chamonix, c'est dire si j'en ai entendu des conneries...........................
Quel printemps suis-je en train de chanter, de quel printemps suis en train de parler ?
La douleur en moi est un cri de mon cœur bouleversé Quel printemps suis-je en train de chanter, de quel printemps suis en train de parler ? Ces gens qui tombent sont innocents et qui est le responsable ?
Nous rêvions d’un printemps épanoui qui se répande sur le peuple Le printemps tourne à la confusion, les enfants et les gens transformés en fleurs de sang Tout commença en panier de légumes, une révolution dans le champ Ils ont fait de notre révolution une mise à mort rouge au nom des religions Les grandes nations sont entrées chez nous avec leurs intérêts politiques Le sommeil s’est enfui de nos yeux dans nos maisons mal protégées Ils sont venus de loin, ces barbares Moghols Avec dans leur cœur la doctrine et la tristesse, avec lesquels vous ne pouvez pas discuter, mais disparaître Le grondement ininterrompu de leurs discours qui leur a dit vous êtes des combattants Le monde arabe, la couleur ou la religion ne se dispersent pas Les peuples décident de leur futur, ont le droit de vivre libres Mais la révolution, quelle pitié, les a ramenés en esclavage.
Quel printemps suis-je en train de chanter, de quel printemps suis en train de parler ? La douleur en moi est un cri de mon cœur bouleversé Quel printemps suis-je en train de chanter, de quel printemps suis en train de parler ? Ces gens qui tombent sont innocents et qui est le responsable ?
Le but d’une révolution est de nous faire progresser, pas de nous ramener à des temps révolus Cette révolution, je le crains, nous ramène en arrière et fait de nous des pantins Je veux un printemps verdoyant qui nous prêche un nouvel été Ils nous ont fait un printemps rouge sang, ils nous ont inondés d’armes et d’acier Après le printemps brille le soleil de l’été Après l’été, l’automne, écoutez le grondement des nuages de l’hiver Alors la pluie peut-être lavera notre terre rouge sang La révolution de la vie retentira par le cri de l’humanité Ils nous ont appelé le Printemps arabe, mais fleurit l’automne du chaos L’Occident abandonne les peuples arabes pour n’avoir pas mené une révolution blanche Ma crainte pour le peuple arabe est que d’autres s’emparent de notre révolution et qu’ils nous dirigent coimme des enfants d’écoles maternelles
Quel printemps suis-je en train de chanter, de quel printemps suis en train de parler ? La douleur en moi est un cri de mon cœur bouleversé Quel printemps suis-je en train de chanter, de quel printemps suis en train de parler ? Ces gens qui tombent sont innocents et qui est le responsable ?
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