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vendredi 30 septembre 2016

ROBESPIERRE REVIENS ! IL FAUT DRESSER UN MILLION DE GUILLOTINES DANS LE MONDE

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Le couperet de la guillotine sauvera-t-il l’humanité des exploiteurs capitalistes

Publié le par Verdi


Le couperet de la guillotine sauvera-t-il l’humanité des exploiteurs capitalistes

Faudra-t-il un embrasement planétaire général pour se débarrasser de l’exploitation de l’homme par l’homme ? Faudra-t-il dresser un million de guillotines, pour éliminer les possédants et dirigeants corrompus, qui affament les peuples ? Et Dieu, s’il existe, que fait-il face au désastre annoncé de sa création ?

L’infiniment petit est-il infiniment plus important que l’infiniment grand ? Mécanique quantique. Théorie des cordes. Univers parallèles. Théorie du tout ou superforce… Et si la clé de l’origine de l’espace et de son, ou ses, univers, résidait dans la dimension subatomique des particules dont nous sommes constitués ? Lesquelles commencent à métamorphoser la vie des Terriens avec les nanotechnologies, les supra diamants ?
L’émergence de l’infiniment petit ouvre des champs d’exploration métaphysique nouveaux et dessine les contours d’une approche philosophique inédite. Peut-être prélude-t-elle aussi l’affirmation, dans un proche avenir, de l’existence d’extraterrestres, que seul l’immense orgueil humain – qui se croit le seul génie de la création – est susceptible de nier.
Si Dieu existe, pourquoi n’a-t-il pas confié aux êtres vivants, doués de conscience, les codes du mystère de la vie, plutôt que de laisser l’être humain s’empêtrer dans des croyances religieuses, sources ou cause de haines meurtrières, d’exploitation de l’homme par l’homme ? A moins que lui-même, s’il existe, ait été dépassé par sa découverte : donner la vie est possible !
Créateur facétieux et incontrôlable voracité humaine
A moins qu’ils n’aient été, non pas un... mais des milliers de dieux, en paix et parfois en guerre, planqués, chacun, dans un coin de l’espace infini ? Non ! Si création il y a eu et il y a encore, c’est le fait d’un créateur facétieux ou d’un lunaire, la tête dans les nuages. A peine créée, l’invention est livrée à elle-même. Et va que j’te pousse au gré des éléments et autres lois physiques. Résultat : le pire côtoie le meilleur dans un ordonnancement de vies aléatoire.
Les civilisations humaines se succèdent. D’abord fastes, riches, enthousiasmantes… Euh ! Ça c’est l’apparence. Elles ne doivent leur éclat qu'à la sueur des millions de bougres réduits à l’esclavage, sans lesquels aucune de ces brillantes civilisations n’aurait pu se développer ! Après quelques siècles d’existence, elles s’effondrent toutes pour la même raison : l’incontrôlable voracité de l’espèce humaine. En tout cas, d’une partie, assoiffée de pouvoir et de richesses, au détriment de la nature et des autres espèces vivantes, du règne animal ou végétal ! Epuisant les ressources de la terre, au-delà de la satiété !
Ne vivons-nous pas cette période, où un pays, berceau de toutes les monstruosités – massacre des Indiens d’Amérique, esclavage des noirs, etc. – les Etats-Unis, impose, depuis un siècle, des règles basées sur le profit absolu en tout. Des règles édictées par les puissants, en leur faveur exclusive, sans aucune préoccupation pour le reste de l’humanité et sans se soucier des conséquences écologiques pour la planète.
Dresser un million de guillotines dans le monde
Amasser, spéculer, faire du profit : c’est leur obsession ! Pour s’en mettre encore plus dans les poches, les riches ont inventé les fausses crises. Elles apparaissent périodiquement, quand leur position dominante est menacée par la populace mondiale. Ils les font perdurer, autant qu’il est nécessaire, afin d’entretenir la peur chez des centaines de millions de gens désemparés, pour mieux les asservir à leur volonté.
Les médias, dont la plupart sont entre leur pouvoir, entretiennent l’angoisse générale, et participent de la volonté de leurs riches patrons. Ces médias savent que ces crises ne sont que mensonges goebbelsiens, inscrits dans le fonctionnement naturel du système capitaliste ultralibéral. Cela ne les empêche nullement de continuer à propager ces duperies criminelles.
Seule la mort de ce système inique, par décapitation des profiteurs de l’humanité, mettra fin à l’injuste et insoutenable souffrance d’une grande partie de l’humanité. Qu’on le redoute ou pas, seul un épisode d’une extrême radicalité, à l’échelle planétaire, comme en 1793, en France, pendant la Révolution, permettra une remise à plat du système mondial, dominé par le dogme ultra-libéral, qui consacre la loi de la jungle ou loi du plus fort comme seul système viable.
Faut-il dresser un million de guillotines à travers le monde, pour que les dirigeants politiques et les profiteurs du système comprennent enfin ? A ce moment-là seulement, un vent de panique soufflera parmi eux.
Les Etatsuniens déstabilisent le monde à coup de guerres et de spéculations
Ces gens-là savent que seul compte le rapport de force. Malheureusement, une majorité d’êtres humains est désorganisée, face à une minorité dominante, composée d’extrémistes d’ultra-droite, plus dangereuse encore que l’extrême-droite, parce qu’avançant masquées et travestie des habits de la démocratie.
L’ultra-droite à travers le monde n’a rien de rassurant. Mais il se trouve toujours une partie de la population, à l’intellect étriqué, pour cautionner et soutenir ce système, contre quelques miettes. Voilà où le bât blesse. Cette situation est d’autant plus insupportable, que les partis politiques et syndicats, censés représenter les oppositions à ce système du fric, voulu et maintenu par les Etatsuniens à coups de guerres et déstabilisations des pays réfractaires, sont incapables de se rebeller.
Au contraire, corrompus pour beaucoup d’entre eux, ils se nourrissent de ce système. Au nom du sacro-saint libéralisme, les Etatsuniens ne savent vivre qu’en empruntant et en spéculant. Leur véritable religion, c’est la consommation sans limite, par la création de besoins factices, non indispensables à la subsistance !
Des milliards d’êtres humains pris au piège de la mondialisation
Ils ont exporté leur modèle vérolé dans un monde impréparé à la culture anglo-saxonne, reposant sur la reine « compétition ». Une loi de la jungle institutionnalisée, sacralisée, où seuls les plus forts et les plus fortunés s’en tirent.
La spéculation généralisée, – sur les produits manufacturés, les monnaies, les matières premières et, depuis quelques années, ce qui est très inquiétant, sur les productions agricoles –, par les fonds spéculatifs, a développé de façon incontrôlée des flux financiers, décorrélés de la réalité des échanges commerciaux.
Sans se soucier, bien évidemment des conséquences dévastatrices pour des milliards d’êtres humains, pris au piège d’une mondialisation, dont ils ne comprennent pas grand-chose, si ce n’est qu’elle les plonge dans des difficultés de vie grandissantes, notamment quand, du jour au lendemain, les prix de tel ou tel aliment de base, atteignent des sommets, sans autre raison que la spéculation sur les marchés mondiaux.
La spéculation généralisée gangrène l’économie mondiale et affame les populations. Sans une révolte planétaire implacable, point de salut pour l’humanité. Les humains continueront de longues années encore à subir la loi de la jungle.
Robespierre reviens !
Verdi

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