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mercredi 16 novembre 2016

UN DONALD A LA TETE DU PAYS LE PLUS DANGEREUX DU MONDE

SOURCE

EU : Le Yankee Trump, nouveau chef du capitalisme mondial, à la tête du pays le plus dangereux du monde !

C’est désolant mais les Yankees ne me surprennent pas. Un pays qui dépense des fortunes démentielles dans les guerres et l’armement (700 milliards $ /an), plus que tous les autres pays du monde rassemblés, un pays qui détient le record du monde des millionnaires (20 millions) mais qui plonge dans la pauvreté déjà près de 46 millions de ses habitants (soit 14% de sa population), un pays dont le nombre d’analphabètes (3,2 millions), augmente impitoyablement, un pays qui vit dans une violence quotidienne inouïe et où la population s’entretue (300 millions d’armes à feu et 30 000 morts par an), un pays dont la dette publique abyssale s’approche des 20 000 milliards de $ (!) et dont le paiement des intérêts représente à lui seul un budget de 450 milliards par an (le second après les dépenses militaires), un pays dont la dette des entreprises privées est de 17 000 milliards et celle des ménages de 13 000 milliards de $, soit une dette totale de 50 000 milliards de $, autant dire une catastrophe géante en prévision, une bombe atomique au-dessus de nos têtes qui éclatera si les taux d’intérêts augmentent un tant soit peu, un pays malade jusqu’à l’os de son racisme, de son inculture, de ses sectes religieuses, du génocide amérindien, un pays qui ne peut survivre que par le pillage des ressources des autres pays qu’il "démocratise", un pays dont justement le "système démocratique" particulièrement discriminant, oublie près de 60% de son peuple, ce pays-là ne peut, le plus souvent, que porter aux pouvoir suprême de sombres crétins....
Mais ces crétins ne sont jamais que les pantins des banques et du complexe militaro-industriel des États-Unis. Si Hillary Clinton apparait moins "m’as-tu-vu", plus cultivée, elle est, elle aussi, un pur produit du formatage idéologique et de la haute finance étasunienne avec un mépris total pour le peuple étasunien des sans-voix. 
Cuba devra donc encore se battre et résister contre la bêtise et la violence venues d’un empire dont les dirigeants n’ont pas une once d’humanisme au cœur mais une bonne dose de barbarie qui annonce assurément un déclin sans précédent.
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